La gestion durable de l’énergie* est indissociable des enjeux d’atténuation et d’adaptation au changement climatique. La mobilisation de la communauté internationale (Accord de Paris) doit être déclinée par les différents acteurs et à toutes les échelles d’action, pour accroître la résilience des économies locales.
La mesure des consommations et des émissions constitue un prérequis indispensable, pour comprendre les enjeux et déterminer les leviers d’action. Les données doivent être régulièrement mises à jour et partagées avec les acteurs clés.
Des incitations ciblées, lisibles et réalistes sont essentielles pour encourager les comportements responsables (sobriété), aussi bien des acteurs professionnels (entreprises) que des particuliers (ménages)s.
La filière doit poursuivre sa structuration pour accélérer et coordonner ledéploiement des outils existants (C2E, contrats de performance, financements innovants, équipements, procédés, logiciels, services spécialisés…).
Atténuer le changement climatique (réduction des émissions) et s’y adapter (limitation des impacts négatifs et maximisation des effets bénéfiques.) sont les deux voies indispensables pour réduire les risques.
Qu’il s’agisse des prix de l’énergie ou des coûts associés aux solutions de réduction des consommations et des émissions, les contraintes économiques des acteurs les plus vulnérables doivent être prises en compte.
La filière doit poursuivre sa Gestion des données, des modèles économiques, des conflits d’usages… Un enjeu majeur consiste à structurer et coordonner les interactions entre acteurs, pour une organisation concertée et une planification inclusive dans les territoires.